Au velours de ton sein, je vais en silence,
Je sens ta chair frémir d’un désir intense,
T’émets un soupir lancinant inassouvi,
Et ton corps se cambre en soubresauts d’envie,
Quand tu ronronnes par mon majeur immoral,
Empruntant le luxurieux chemin vertical,
Visitant, je découvre tes secrets cachés,
Cadeaux parfumés d’une odeur de péché,
Venant cueillir sur tes divers monticules,
Le pollen des fleurs d’un bonheur majuscule,
Retardant à plaisir, l’instant tant attendu,
Et pour t’aimer enfin à ce moment venu,
En lapant de mes lèvres, tes larmes de joie,
Et sirotant ta cyprine, source d’émoi.
Je sens ta chair frémir d’un désir intense,
T’émets un soupir lancinant inassouvi,
Et ton corps se cambre en soubresauts d’envie,
Quand tu ronronnes par mon majeur immoral,
Empruntant le luxurieux chemin vertical,
Visitant, je découvre tes secrets cachés,
Cadeaux parfumés d’une odeur de péché,
Venant cueillir sur tes divers monticules,
Le pollen des fleurs d’un bonheur majuscule,
Retardant à plaisir, l’instant tant attendu,
Et pour t’aimer enfin à ce moment venu,
En lapant de mes lèvres, tes larmes de joie,
Et sirotant ta cyprine, source d’émoi.